par COCO66 le Sam 19 Déc - 22:25
Etudier sans réfléchir est vain, mais réfléchir sans apprendre est dangereux. (Confucius.)
Pour comprendre ma philosophie de l’apiculture :
Je garde à l’esprit deux lois fondamentales et incontournables de la nature qui sont les suivantes :
Tous les êtres vivants sur terre sont interdépendants. (action-conséquences)
En effet, chaque action de l’un entraine une ou des conséquences positives et ou négatives pour les autres espèces et vis versa.
Et aussi, une conséquence engendre des actions pour d’autres, ce sont les réactions en chaines). Cette loi naturelle s’applique à tout. (Physique, chimie, mental, agressions, relationnel... etc.)
Toutes les espèces vivent dans un monde en équilibre stable et durable avec un minimum d’énergie. (Equilibre stable)
Toutes les espèces, espèce humaine comprise, vivent dans un monde en équilibre stable, (de préférence durable), avec un minimum d’effort.
Toute modification de leur mode de vie (ou une habitude) entraine un effort supplémentaire pour rétablir cet équilibre ou une nouvelle adaptation. Si l’effort est long ou répétitif, il y aura affaiblissement de cette espèce. Si l’effort d’adaptation à fournir est supérieur aux capacités de l’espèce, alors l’espèce sera effacée progressivement du monde du vivant.
Loi impitoyable de la nature qui pratique la sélection par élimination des êtres vivants faibles, malades, ou inadaptés au nouveau contexte.
Il est donc très important de réfléchir et d’étudier la vie de l’essaim d’abeilles sauvage, pour en respecter au mieux son mode de vie.
Alors, je serai capable d’être utile sans nuire à mes abeilles.
Dans mes pratiques « d’éco-apiculteur » je cherche à protéger cette harmonie, garante de colonies résistantes et en bonne santé, en m’inspirant de l’essaim sauvage
Voilà l’angle de vision de cette apiculture, que je souhaite pour mes abeilles. Elles nous le rendre bien par leur immense travail de pollinisation. C’est grâce à elles que je peux diversifier ma nourriture. (Fruits, légumes). Et éventuellement un peu de miel, mais ce n’est pas le plus important.
Et Vous, qu’en pensez vous ???
L’homme de peu ne connait que le profit. (Confucius : -551/ -479 av J.C.)